Rengaine
Où es-tu mon Unique, gardienne de mon coeur?
Les brumes m’environnent, les ténèbres fondent sur moi
Quand pourrai-je trouver le refuge de tes bras,
Partager ta tendresse, apaiser mes douleurs ?
Lorsque le soir tombe, comme j’éprouve ton manque
Aucune douce main sur mon épaule posée
Pas de voix mélodieuse qui vienne me bercer
Calmant ma sourde angoisse et les peur qui la flanquent
Point de délicat souffle lorsque le monde s’endort
Et dans ce grand lit vide, personne à enlacer
Nul merveilleux visage, nulles lèvres à embrasser
Rien que les draps glacés, le silence et la mort
Même au coeur de mes songes je te cherche sans fin
Je cours après des ombres, croyant t’apercevoir
Je me perds lentement en de sordides cauchemars
Désirant à tout prix te rencontrer enfin.